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De nombreux exposants ont aussi joué la carte verte, Veolia avait réalisé une maquette représentant le cycle de l’eau. Des acteurs se sont positionnés de manière ferme sur le marché écologique de l’industrie nautique comme Ecocéane, qui propose toute une flotte de navires nettoyant des eaux. Il y a aussi Boero qui proposait Navibio, le premier nettoyant de navires 100% biodégradable. Insilio, fournisseurs de technologie et de solutions pour les ports de plaisance, également exposant proposait une gamme de produits dont l’impact sur l’environnement était soit neutre soit positif.
Doit-on dès lors parler d’écoblanchiment, de récupération capitaliste de l’écologie ? Est-ce une prise de conscience naïve par les industriels des enjeux du développement durable ? La vérité est ailleurs… l’écolo Business apparait comme la réaction des industriels à la prise de conscience de l’opinion publique des enjeux écologiques. Une réaction indirecte où économie et écologie se retrouvent autour de leur racine étymologique, oikos : milieu.
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